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Découvre comment se libérer de la peur du manque grâce à 3 astuces simples et apprivoise ce sentiment en entrant dans les coulisses de ton cerveau.
Tu veux quitter ton emploi et créer l’entreprise de tes rêves, mais tu as peur de manquer d’argent ? Tu es du genre à prendre trop d’affaires lorsque tu pars en vacances, « au cas où » ? Ou peut-être es-tu à l’opposé : tu es une minimaliste dans l’âme, tu ne veux t’attacher à rien pour éviter la douleur liée à une éventuelle perte ?
Tous ces comportements sont typiques de la peur du manque.
Le problème ? Cette peur est souvent à l’origine de décisions qui ne sont pas au service de ton épanouissement, mais pour te protéger d’une menace que tu as créée de toute pièce.
Dans cet article, nous allons disséquer cette peur en long, en large et en travers, en entrant dans les coulisses de ton cerveau. Et surtout, nous allons te donner des astuces pour t’en libérer et reprendre les rênes de ta vie et de tes rêves.
Le manque
Voici la définition du manque, selon le Larousse : « Insuffisance ou absence de ce qui serait nécessaire« . Mais aussi : « Absence péniblement ressentie de quelqu’un, de quelque chose, qui laisse une impression de vide ou d’incomplétude« .
La notion de « nécessaire » renvoie à ce dont nous avons besoin pour vivre, et donc à la satisfaction de nos besoins fondamentaux. Cela ne vous dit rien ? Maslow, l’inventeur de la célèbre pyramide éponyme, a hiérarchisé dans les années 1970 les motivations de l’être humain, en fonction de ses besoins fondamentaux, que voici :
La peur du manque est donc liée à la peur de ne pas pouvoir satisfaire ses besoins fondamentaux, qu’il s’agisse des besoins de sécurité, d’appartenance ou d’estime.
Mais il y a autre chose qui en dit long sur la peur du manque : l’utilisation du conditionnel dans la première définition « absence de ce qui serait nécessaire », et l’utilisation du champ lexical du sentiment : « Absence péniblement ressentie », « laisse une impression« .
La définition parle d’elle-même : le manque est une notion avant tout subjective. Par conséquent, ce qui pour toi relève du manque peut ne pas l’être pour quelqu’un d’autre. Le manque est donc une perception et non une réalité absolue.
Le cerveau et la peur
Ton cerveau a pour but de te maintenir en vie. Cela veut dire qu’en cas de peur, celui-ci va tout faire pour assurer ta survie. Que tu te retrouves en face d’un lion, d’une araignée ou dans la salle d’attente du dentiste, il réagira exactement de la même façon. Il choisira entre ces 3 options : la fuite, la lutte ou l’inhibition (faire le mort).
Dans le cadre de la peur du manque, ton cerveau va donc tout naturellement te pousser à agir afin de ne pas te retrouver dans une situation où tes besoins fondamentaux ne seraient pas satisfaits.
La peur te maintient donc dans un quotidien où ta survie est assurée, mais pas forcément ton bonheur et ton épanouissement. Pour atteindre le bonheur dans ta vie, il va donc falloir changer ta manière de penser en focalisant ton esprit sur autre chose que la peur.
Le cerveau reçoit en moyenne 6200 pensées par jour. Afin de pouvoir les traiter, il effectue un tri via le système réticulé activateur. Cela lui permet de privilégier les pensées les plus importantes, comme la peur, car elle est liée à ta survie.
Mais quand la peur est irrationnelle et que nous ne sommes pas réellement en danger, il est important de se fixer des objectifs de vie.
Le but ? Que le cerveau effectue un filtrage de l’information différent où ce n’est plus la peur qui domine, mais les pensées liées à cet objectif.
>>> Ta vie professionnelle n’est pas alignée à tes valeurs ? Découvre sur le blog comment retrouver du sens dans son travailet quelles sont tes valeurs.
Se libérer de la peur du manque, c’est un peu comme faire un « reset » de ton cerveau. Cela peut prendre un peu de temps, mais c’est complètement possible. Pour t’aider à y parvenir, nous avons compilé les 3 meilleures astuces pour vaincre la peur de manquer.
Souvent, lorsque l’on a peur de quelque chose, on ne sait pas exactement ce qu’on redoute le plus. Par exemple, si ce qui t’angoisse est la peur du manque d’argent, demande-toi de quoi tu as peur exactement. Quel est le pire scénario qui pourrait arriver ?
Exemple : « J’ai peur de quitter mon travail, de ne plus avoir de revenus, de ne plus pouvoir payer mon loyer et de me retrouver à la rue. »
Une fois que tu as identifié le pire scénario, demande-toi quelles sont les alternatives qui te permettraient d’éviter ce scénario catastrophe.
Exemple : « Si je ne peux plus payer mon loyer, je peux retourner vivre temporairement chez mes parents / Je peux retrouver du travail dans tel domaine, car j’ai de l’expérience / Je peux trouver un petit boulot / Je peux sous-louer une pièce de mon appartement, etc. »
Les bénéfices de cet exercice : en ayant identifié clairement le pire scénario et en ayant trouvé des alternatives réalistes à celui-ci, tu indiques à ton cerveau qu’il n’a pas de raison d’avoir peur. Cela te permet de te concentrer sur autre chose que cette crainte, car tu auras prévu quoi faire si cette situation arrive.
>>> Pour aller plus loin : Tes angoisses te poussent à procrastiner ? Nous t’expliquons dans cet article comment enfin vaincre la procrastination 💪
Pourquoi certaines personnes ont peur de manquer d’argent, quand d’autres ont toujours l’angoisse de manquer un événement important (le fameux FOMO « fear of missing out ») ou de rater une bonne affaire ? Tout simplement car nous avons tous et toutes des croyances et des expériences différentes.
Pour se libérer de la peur du manque, il est donc important d’aller gratter sous le vernis de nos angoisses, pour trouver les raisons profondes qui nous paralysent.
Un exercice efficace consiste à travailler sur son pourquoi, en répétant plusieurs fois cette question après chaque réponse donnée. Cela permet d’aller chercher dans les abîmes de notre cerveau les raisons parfois inconscientes qui nous maintiennent dans la peur du manque.
Exemple : « J’ai peur de quitter mon travail et de manquer d’argent ». Pourquoi ? « Car j’ai peur de ne pas trouver de client·es dans le cadre de ma nouvelle activité. » Pourquoi ? « Car j’ai peur que mes offres n’intéressent personne. » Pourquoi ? « Car je ne sais pas si les gens seraient prêts à me payer pour le service proposé ». On voit bien ici que l’anxiété financière est déclenchée par la peur de ne pas trouver de client·es.
Les bénéfices de cet exercice : Trouver des solutions pour traiter les causes réelles qui se cachent derrière la peur de manquer. En reprenant l’exemple au-dessus, en travaillant sur son business plan et en testant ses offres en amont, la personne angoissée par la peur de ne pas trouver de client·es peut ainsi se libérer de la peur de manquer d’argent.
Nous terminons par l’astuce la plus puissante selon nous pour se libérer de la peur du manque : passer d’un état d’esprit de pénurie (ou de rareté) à un état d’esprit d’abondance.
Une mentalité d’abondance se résume par le fait de penser que l’on dispose de tout le nécessaire pour mener la vie de ses rêves. Au lieu de se focaliser sur ce qui lui manque, la personne avec un mindset d’abondance se concentre sur ce qu’elle a déjà.
Par exemple, elle n’a pas peur de la concurrence, car elle sait qu’il y a suffisamment de client·es pour tout le monde.
Voici 5 façons de développer une mentalité d’abondance :
L’état d’esprit d’abondance permet de voir les opportunités là où d’autres ne voient que les contraintes, de profiter du moment présent en étant reconnaissant·e de tout ce que l’on a déjà, et de libérer son potentiel en trouvant des solutions innovantes pour atteindre ses objectifs.
>>> Pour aller plus loin : découvre pourquoi sortir de sa zone de confort est important pour atteindre le bonheur.
Nous arrivons au bout de cet article sur comment se libérer de la peur du manque. Grâce à ces quelques astuces et exercices, nous espérons que tu pourras enfin mener la vie à laquelle tu aspires vraiment, sans laisser cette angoisse guider tes choix. En te débarrassant de la peur de manquer, tu t’ouvres en effet à un nouveau monde, celui de l’abondance, de l’alignement et de la plénitude.
Tu souhaites lancer ton activité en 2022 ou passer un cap dans ton business ? Alors rejoins-nous dans le Sud de la France du 16 au 22 mai 2022 ! Pendant une semaine, nous t’aiderons à construire la stratégie pour atteindre tous tes objectifs en 2022. Entre retraite business et bien-être, participe à cette aventure exceptionnelle entre femmes entrepreneures alignées et transforme ta vie !
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Tu es entrepreneuse et tu souhaites élargir ta clientèle en lançant ta propre formation en ligne ? Découvre 6 outils pour créer une formation en ligne facilement, même sans rien y connaître en technique.
Tu l’as sûrement remarqué, la formation en ligne a explosé ces derniers temps. Pour les entrepreneur·es du Web, il s’agit en effet d’un formidable moyen de passer un cap dans leur business, en se créant un revenu passif. Et tout le monde y gagne : en rendant accessibles leurs connaissances sur la Toile, les infopreneur·es font profiter de leur expertise à un champ illimité de personnes.
Créer sa propre formation en ligne est donc une excellente idée pour se faire connaître en dehors de son réseau géographique.
Seulement voilà… Cette formation, il va falloir la créer, l’héberger, la promouvoir. Et la technique, ce n’est pas vraiment ton fort.
Heureusement, l’essor de l’infopreneuriat a fait naître une multitude d’outils pour faciliter la vie de ces travailleurs et travailleuses nouvelle génération. Si tu es perdue dans la jungle des logiciels de montage et autres autorépondeurs, découvre notre guide des 6 outils pour créer une formation en ligne quand on débute.
Tu te demandes ce qu’est l’infopreneuriat ?
On te dit tout sur ce nouveau métier dans notre vidéo !
Cet outil ne va pas te servir directement à créer ta formation en ligne. Par contre, il va t’aider à la rendre visible sur Internet. Ubersuggest est en effet un outil de recherche de mots-clés. C’est quoi un mot-clé ? Il s’agit d’un mot ou d’un groupe de mots fréquemment tapé dans la barre de recherche de Google.
En utilisant ce groupe de mots bien précis dans le nom de ta formation, puis dans les articles et toutes les publications que tu feras sur ton site ou ailleurs sur Internet, tu augmenteras les chances de faire apparaître ta formation en ligne dans la première page de résultats de Google. C’est ce que l’on appelle le référencement naturel ou SEO (Search Engine Optimization).
Cela peut également te donner des idées d’informations que recherchent tes cibles sur le thème de ta formation. Pour cela, il te suffit de regarder les suggestions de mots-clés proposées par Google quand tu commences à taper un mot.
Si tu veux créer une plateforme de formation en ligne, gratuite ou payante, tu seras probablement amenée à filmer des vidéos. Ce qui implique quelques connaissances techniques… et du matériel performant. Mais rassure-toi : pas la peine de te ruiner dans des gadgets coûteux, le tout est d’investir les bons outils!
Parmi le matériel nécessaire pour faire des vidéos YouTube (ou autre) de qualité, nous te recommandons vivement d’investir dans un micro. Au-delà de l’image, c’est en effet le son qui est le plus important dans une vidéo. Personne n’a envie de regarder une vidéo où on n’entend rien !
Nous te conseillons, pour assurer un son de qualité à tes vidéos, d’investir dans un micro-cravate comme le Rode Smart ou le Boya BY M1.
>>> Tu es à la recherche d’un métier qui ait du sens à tes yeux ? Trouve l’inspiration dans notre article sur comment redonner du sens à son travail.
Faut-il encore présenter Canva, le pendant gratuit et simplifié de Photoshop ? Si tu ne connais pas encore cet outil, sache qu’il te permettra de réaliser de jolis textes de présentations, des miniatures de vidéos, ou encore des posts Instagram ou Facebook à l’esthétique impeccable.
Bref, si le graphisme n’est pas ton truc mais que tu veux quand même avoir une identité visuelle travaillée sans investir dans Photoshop, nous te recommandons vivement d’essayer Canva, qui fait partie des outils du marketing digital les plus utilisés !
>>> Astuce : si tu souhaites faire une présentation avec des slides, nous te conseillons, outre Power Point ou Keynote (pour Mac), Google Slides, qui permet de réaliser de jolies présentations très facilement.
Passons à notre outil coup de coeur : Systeme io, qui est selon nous la meilleure plateforme de formation en ligne quand on débute. Pourquoi ? Tout simplement parce que ce logiciel en ligne est un véritable couteau suisse de l’infopreneur·e. Il héberge en effet, sur la même plateforme :
En bref, si tu cherches une solution tout-en-un, facile à prendre en main et accessible (l’abonnement commence à 27€/mois et une formule gratuite existe), nous te conseillons Systeme io les yeux fermés !
>>> Tu es perfectionniste et cela t’amène à procrastiner ? Découvre dans notre article comment vaincre la procrastination pour de bon et enfin passer à l’action 💪
Enfin, voici notre astuce bonus pour créer de l’interaction avec tes élèves, tout en t’assurant qu’ils ont bien retenu ce que tu leur as enseigné : l’intégration de tests ! Il s’agit d’un des outils pour animer une formation à distance particulièrement ludique, auquel on ne pense pas toujours !
Pour le mettre en place, tu peux tout simplement utiliser Google Form, qui permet de réaliser des enquêtes, et ensuite intégrer le code du questionnaire dans ta plateforme de formation. Nous pouvons également te conseiller Go Conqr, intuitif et facile à utiliser. Seul bémol : l’outil est en anglais.
Nous arrivons au bout de cet article consacré aux outils pour créer une formation en ligne en partant de zéro. Nous espérons que ce guide t’aidera à ne pas bloquer sur la technique et à te concentrer sur le plus important : le contenu de ta formation et ce que tu veux apporter à tes client·es. Ce ne sont en effet pas les outils qui font une bonne formation en ligne, mais bien la réflexion stratégique et la valeur ajoutée que tu apportes à tes élèves sur une thématique donnée.
Tu ne sais pas quel sujet de formation choisir ? Tu aimerais être accompagnée par des professionnelles en business ayant déjà conçu des formations en ligne et gagné plusieurs dizaines de milliers d’euros ? Nous avons créé le mastermind DharmaBusiness afin d’ accompagner les entrepreneuses à vivre d’un business de coeur. Nous proposons un focus sur le marketing en ligne et serions ravies de te guider pour lancer une formation en ligne.
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Les étapes de l’entrepreneuriat ne sont pas que techniques : il se passe aussi tout une série de chamboulement psychologiques. Découvre lesquels dans cet article
Au cours de nos coachings, nous avons remarqué que les entrepreneurs et entrepreneuses passent tous et toutes par des peurs et blocages psychologiques similaires. Certain·es restent d’ailleurs au même stade pendant des années, totalement inconscient·es que ce blocage est en réalité une étape normale et incontournable du processus entrepreneurial.
En effet, un peu comme Hercule qui traversa 12 épreuves (les fameux travaux), un·e entrepreneur·e passe par une série d’étapes (quasiment tout le temps dans le même ordre) pour faire décoller son entreprise.
Cette série de défis, qu’ils amènent à l’échec ou à la réussite, est loin d’être inutile, car elle permet de tirer des leçons de vie. Chaque épreuve permet alors d’apprendre de nouvelles compétences entrepreneuriales ou savoir-faire. C’est ce que nous appelons dans Dharmasana le parcours initiatique de l’entrepreneur.
Pour t’aider à devenir une femme entrepreneure à succès en développant un business de coeur, nous avons listé pour toi les différentes étapes de l’entrepreneuriat, vues sous l’angle de la psychologie entrepreneuriale.
Attention : connaître les étapes de l’entrepreneuriat ne te dispensera pas de devoir les surmonter, mais nous croyons qu’en avoir conscience te permettra de tendre plus rapidement vers la réussite entrepreneuriale.
Découvre sans plus attendre les 4 étapes du parcours initiatique de l’entrepreneur !
Tu es en reconversion professionnelle, mais tu as peur de lancer ta nouvelle activité, car tu ne te sens pas légitime ? Bingo, te voilà face au premier tournant du parcours initiatique de l’entrepreneur ! Car non, contrairement à ce que tu penses, ce ne sont pas le manque de compétences, d’expériences ou de diplôme qui t’empêchent de réussir ton projet entrepreneurial. C’est le sentiment de ne pas être à ta place, pour X ou X raison, qui te pousse à saboter inconsciemment ton ascension entrepreneuriale.
Si tu ressens une certaine illégitimité à te lancer dans quelque chose de nouveau, bonne nouvelle donc : tu es en réalité en bonne voie pour entreprendre !
Le savais-tu ? Le sentiment d’illégitimité va souvent de pair avec le perfectionnisme et les profils multipotentiels, c’est-à-dire les personnes qui s’intéressent à beaucoup de sujets en même temps, sans jamais vraiment se spécialiser.
Rassure-toi : le besoin de légitimité est normal quand on se lance dans une nouvelle activité où l’on n’a aucun repère, où personne ne te connaît ni ne reconnaît ton expertise. Pourtant, avant d’être connues, dis-toi que les experte·es de n’importe quel domaine ont dû, eux aussi, dépasser ce sentiment d’illégitimité.
Psychologie entrepreneuriale : Comment dépasser le sentiment d’illégitimité ?
Maintenant que tu as pris conscience que tu étais bloquée par le sentiment d’illégitimité, la seule façon de le dépasser est de… te confronter à cette peur !
Pour sauter le pas sans passer par un état de panique qui pourrait être contre-productif, nous te conseillons de lister tout d’abord les raisons profondes qui te poussent à te lancer dans ton nouveau projet, ainsi que les valeurs qui y sont associées. Tu peux également écrire toutes les compétences que tu as déjà, et celles que tu souhaites améliorer.
Enfin, rappelle-toi qu’il y aura toujours des gens plus expérimentés que toi, mais que ton but est de vendre tes produits ou services à des personnes qui n’ont pas toutes tes connaissances ou ton talent !
Tu as du mal à te lancer ? Découvre dans notre article pourquoi et comment sortir de ta zone de confort pour réussir dans l’entrepreneuriat.
Une fois le sentiment d’illégitimité dépassé, te voilà lancée dans ton nouveau projet et revigorée par ton premier passage à l’action ! Bravo, tu es maintenant en bonne voie vers la seconde étape du processus entrepreneurial : surmonter la peur de l’échec. Ah, l’échec ! Ne pas réussir son objectif est une des plus grandes peurs de notre ego. Or, quand on se lance dans un projet entrepreneurial, les chances de réussite ne sont absolument pas garanties !
La clé pour dépasser cette peur ? Changer ta vision de l’échec. Celui-ci n’est en effet que le résultat d’une action, dont tu peux te servir pour réajuster ta stratégie afin d’atteindre tes objectifs. Voir l’échec comme quelque chose de neutre est la clé pour passer cette étape.
Pour t’aider à surmonter ta peur de l’échec, nous avons compilé une liste de citations pour changer ta vision des choses :
« Les échecs servent de répétition au succès » (Reed Cathy)
« Je vous dirai que je n’ai jamais eu d’échecs dans ma vie. Il n’y a pas eu d’échecs. Il y a eu des leçons épouvantables. » (Oprah Winfrey)
« Ne t’inquiète pas de l’échec, inquiète-toi des chances que tu manques quand tu n’essaies même pas ! » (Jack Canfield)
N’hésite pas à nous dire en commentaire quelle citation te parle le plus ou si tu as d’autres citations ou mantras pour dépasser ta peur de l’échec !
Tu es paralysée par la peur de l’échec ? Découvre dans notre article 4 astuces pour surmonter ta peur de l’échec 💪
Une fois la peur d’échouer dépassée, il y a de grandes chances que ton activité se développe… Et c’est à ce moment-là que va venir frapper la dernière peur qui jalonne le parcours initiatique de l’entrepreneur·e : la peur de la réussite ! Ce blocage peut paraître improbable lorsque l’on est en proie à la peur de l’échec ou au sentiment d’illégitimité, mais nous tenons à te prévenir : tu ne vas pas y échapper!
La peur de la réussite arrive quand tu commences à atteindre tes objectifs (vendre tes produits ou services, avoir plus de notoriété, etc.) et que tu te dis : « Mais qui suis-je pour mériter ça ? », « Je ne suis pas meilleur·e que quelqu’un d’autre », « Je n’ai réussi que par chance », « Et si on se rendait compte que j’étais une imposture totale ? »…
Imosture, oui. Bim. Tu l’auras compris, nous voilà en plein dans le syndrome de l’imposteur, le fameux, celui qui est sur toutes les lèvres de nos jours !
Le syndrome de l’imposteur, c’est quoi ?
Ce syndrome correspond au sentiment profond de ne pas mériter de réussir, de douter constamment de ses capacités au point d’avoir le sentiment de duper son entourage. Les personnes qui ressentent ce sentiment d’imposture pensent que leur réussite n’est due qu’à des facteurs extérieurs comme la chance du débutant, des circonstances exceptionnelles, etc., et non à leurs propres talents et compétences.
Aux racines du mal, il y a souvent une mauvaise estime de soi, de la culpabilité et un besoin de reconnaissance.
Si tout le monde ne ressent pas la peur de réussir ni le syndrome de l’imposteur de la même intensité, il s’agit cependant d’un mécanisme psychologique quasiment incontournable dans l’entrepreneuriat.
Pour t’en délivrer, nous t’invitons à travailler sur l’estime de toi et l’esprit entrepreneurial.
Dans la formation Dharmasana que nous avons mise au point pour les femmes souhaitant trouver leur voie professionnelle et créer une activité alignée avec leurs valeurs, nous donnons des outils, des exercices et des coachings pour t’aider à passer plus facilement ces blocages psychologiques qui font partie du processus entrepreneurial. Avoir conscience de nos peurs est certes un premier pas, mais c’est la mise en place d’actions qui permet de les surmonter.
Nous voilà au bout de cet article consacré aux étapes de l’entrepreneuriat, vues sous l’angle psychologique ! Pour terminer, nous tenons à te préciser que tu seras amenée à passer par ces différentes étapes plusieurs fois dans ton parcours d’entrepreneure.
Dans ton cheminement vers l’accomplissement de toi et le succès entrepreneurial, tu vas en effet gravir des échelons, en passant par ces 4 étapes, avant d’atteindre un plateau. À chaque fois que tu voudras passer un nouvel échelon (lancer un nouveau produit par exemple), tu devras à nouveau passer par ces 4 étapes, peu importe combien de chiffres d’affaires tu réalises ni à quel point tu es connue dans ton domaine d’activité ! Te voilà prévenue 😉
Envie de faire le plein de motivation ? Inspire-toi du parcours de nos anciennes élèves de Dharmasana, qui te racontent comment elles ont lancé une activité professionnelle alignée avec leurs valeurs.
Découvre comment créer une activité entrepreneuriale alignée à tes valeurs et ton mode de vie grâce à notre masterclass d’1h30 autour de l’entrepreneuriat féminin 2.0. Au programme : psychologie positive, spiritualité et conseils ayurvédiques appliqués au quotidien d’entrepreneure.
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« Je n’ai pas envie de gagner plus financièrement, j’ai besoin de gagner en qualité de vie »
Aujourd’hui, on te fait découvrir le parcours d’Agnès, ingénieure en reconversion professionnelle dans l’ayurveda. Après un burn-out, cette maman à l’agenda bien rempli a intégré Dharmasana pour clarifier son projet et réussir à jongler entre les différentes facettes de sa vie. Si toi aussi tu as un quotidien déjà bien chargé et que tu te demandes comment changer de voie professionnelle, nous t’invitons à lire l’histoire d’Agnès.
Tout commence après la naissance de sa fille. Une dépression post-partum non prise en charge, un travail d’ingénieur à responsabilités très (trop) prenant. Coincée entre deux vies trop remplies, Agnès accumule fatigue, stress et anxiété.
Et puis un jour… Clac.
Un an et demi après avoir accouché, la jeune maman, 31 ans aujourd’hui, est arrêtée plusieurs mois. « Du jour au lendemain, ça a lâché. » Diagnostic : burn-out.
« J’ai alors traversé une grosse crise existentielle », se souvient Agnès. Comme beaucoup d’élèves du programme Dharmasana, elle a pourtant fait « tout comme il fallait » : un emploi hautement qualifié, un mariage, un enfant. Des voyages à l’autre bout du monde, une garde-robe bien garnie.
Pourtant, à l’aube de ses 30 ans, ce quotidien ne la fait plus rêver. « J’ai remis en question beaucoup de choses, dont mon rythme de vie. J’ai cherché à savoir ce qui me correspondait vraiment, quelle était ma mission de vie, mes valeurs et ce sur quoi je ne transigerai plus. Cette période a été difficile, mais salvatrice. »
La redécouverte de l’ayurveda
En parallèle, Agnès tente d’apaiser son stress, qui atteint des sommets et dont elle a à l’époque perdu tout contrôle. Elle se tourne alors vers la médecine de son enfance, celle qui lui a jadis permis de gérer ses problèmes d’asthme : l’ayurveda.
Cette médecine indienne ancestrale, Agnès la connaît grâce à sa famille, qui, bien que Française, est originaire de Pondichéry, dans le Sud de l’Inde. « J’ai beaucoup voyagé, plus jeune, avec mes parents, dans le Kerala (région où l’ayurveda est très présente) où j’ai pu rencontrer des médecins ayurvédiques pour mon asthme, et effectuer des petites cures. »
Aujourd’hui, elle le reconnaît : « L’ayurveda m’a sauvée. » Agnès pourrait d’ailleurs en parler des heures : « Il existe peu d’approches holistiques sur la gestion du stress. En général, soit tu vas voir un psychologue pour traiter les causes mentales, soit un médecin généraliste pour soigner les symptômes psychosomatiques. Or, l’ayurveda permet de travailler sur les deux plans. »
Mais il y a une raison plus personnelle qui explique le choix d’Agnès : « Pendant mon adolescence, je me suis éloignée de mes racines, car je me sentais 50/50. En France, j’étais l’Indienne, et en Inde, la Française. » En utilisant la médecine indienne pour panser ses plaies de « wonder woman », Agnès a donc aussi renoué avec une partie de son héritage familial. « Je comprends très bien le tamoul et je le parle aussi, même si on ne me comprend pas toujours », glisse-t-elle en souriant.
Trait d’union entre les deux cultures dans lesquelles elle a longtemps été tiraillée, l’ayurveda s’impose naturellement à Agnès comme son futur projet professionnel. Sa mission est désormais claire : aider d’autres personnes à gérer leur stress grâce à une approche psychologique de l’ayurveda.
Ni une ni deux, la voilà inscrite à l’école Gayaveda Academy, en parallèle de son travail d’ingénieure.
Je suis du genre à vouloir tout gérer de front et j’ai appris à avancer à mon rythme
Et avec cette renaissance professionnelle, un nouveau challenge se dessine : celui de concilier sa vie professionnelle, familiale ET sa reconversion. En filigrane, le spectre du burn-out est, bien sûr, toujours présent dans sa tête.
La formation Dharmasana, auquel elle vient de s’inscrire (on est en mars 2020), tombe à pic : « J’avais déjà effectué un bout du chemin certes, mais je pataugeais à ce moment-là pour trouver un équilibre de vie. Et puis, j’avais besoin d’un bottage de fesses pour passer à l’action ! », sourit-elle.
Le déclic des coachings communs
Parmi les outils qui ont le plus aidé Agnès à se développer, les coachings communs, qui ont lieu tous les mercredis à 18h, l’ont particulièrement marquée. « Les coachings aident énormément, c’est vraiment puissant. Et puis, on a tissé des liens entre nous, en un an, même si c’est à distance. J’ai l’impression d’en connaître certaines comme si on s’était déjà vues. Je me suis sentie en confiance dès le début. On a pu partager des choses franchement, sans avoir peur d’être jugées. »
Au fil des modules, Agnès affine son projet et le clarifie, tout en apprenant à mieux gérer son énergie. « Je suis du genre à vouloir tout mener de front et j’ai appris à ne pas me mettre trop de pression, à avancer à mon rythme. »
Son credo ? Tout pas, aussi minime soit-il, est une avancée. En l’espace d’une année, à force de petites enjambées, Agnès passe d’une idée de projet aux contours assez flous à la création d’une activité ciblée, dont le business model est adapté à son désir de moins travailler.
Aujourd’hui, elle a enregistré son entreprise, obtenu sa première certification de praticienne ayurvédique et est en contact avec plusieurs client·es potentiel·les afin de travailler le contenu de ses prestations.
Et ce n’est pas fini. Pour mieux accompagner les personnes stressées, Agnès entreprend en parallèle une formation de coaching, afin d’apporter une dimension psychologique à ses connaissances, et mieux identifier les causes profondes qui peuvent être à l’origine du stress.
Le tout, sans se surmener. Même si, elle l’avoue, elle a frôlé la rechute quelques mois plus tard et a dû retarder l’avancement de ses projets.
Pour arriver lentement mais sûrement à ses fins, Agnès a un emploi du temps géré au millimètre. En prenant son compte épargne temps et son treizième mois en temps et en diminuant son forfait jour, la jeune maman s’est en effet dégagée une journée par semaine entièrement consacrée à son projet de reconversion professionnelle. Sans empiéter sur ses week-ends ni ses vacances.
La peur du placard
Et au travail, comment cela se passe-t-il d’ailleurs ? Au début, personne n’était au courant de sa deuxième vie professionnelle au sein de son entreprise. « Comme j’avais un poste à responsabilités, je me disais que j’étais censée me dédier à 100% à mon travail et que je pouvais être mise au placard si on venait à apprendre que j’étais en train de me reconvertir. » Au fil des mois pourtant, Agnès se confie à certain·es collègues. À son grand étonnement, « je me suis rendu compte que plein de personnes ne trouvaient pas non plus de sens dans leur travail et traversaient une crise existentielle ».
Ironie de l’histoire, aujourd’hui, son projet (qui n’est plus un secret) force l’admiration et on lui a même proposé de parler de son cheminement au sein de son entreprise !
Pour opérer une transition de vie en accord avec ses valeurs, il y a un autre aspect sur lequel Agnès a dû travailler. Un sujet qui a tendance à crisper les mâchoires quand on l’aborde en public et qui est traité sans tabou dans Dharmasana : le rapport à l’argent.
« J’avais développé une peur du manque malgré un salaire confortable, confie la jeune maman. Aujourd’hui, je gagne moins, mais je m’en porte très bien. Je n’ai pas envie de gagner plus financièrement, j’ai besoin de gagner en qualité de vie, en temps libre. »
« Avant, on avait besoin de partir à l’autre bout de la planète pour s’évader du quotidien »
Alors, avec son mari, ils se délestent peu à peu du superflu. À commencer… par les voyages : « Avant, on avait besoin de partir à l’autre bout de la planète pour s’évader de notre quotidien. Aujourd’hui, on profite plus de la vie et on n’a plus ce besoin-là. On consomme aussi différemment. Je me suis tournée vers le minimalisme, notamment au niveau de ma garde-robe ». Exit donc les achats de chaussures compulsifs et les voyages dans les îles !
« J’avais déjà mon pourquoi,
Dharmasana m’a donné le comment«
Ce paramètre temps – argent soulevé par Agnès est crucial dans la création d’une activité de coeur, adaptée à sa nature profonde et ses valeurs. Pour vivre en harmonie avec ce désir de ne pas consacrer toute sa vie à son travail, Agnès réfléchit donc à un business model lui permettant de se dégager du temps, en proposant par exemple des accompagnements de groupe.
« Je ne veux pas avoir de pression financière en exerçant ce métier, car je pense qu’on ne peut pas délivrer des soins de qualité s’il y a un objectif financier à atteindre derrière, un nombre de consultations ou de massages à réaliser. »
Gagner moins pour vivre pleinement l’instant présent : Agnès croit dur comme fer que c’est possible. « Avec Dharmasana, j’ai eu le déclic qu’une autre forme/voie est possible, que c’est à chacun d’aller la chercher, d’étendre son champ magnétique, tel un aimant. J’avais déjà mon pourquoi, Dharmasana m’a donné le comment. Au fil de la formation, j’ai aussi gagné en humilité en me rendant compte que le dharma, cette quête d’une vie alignée à soi, est quelque chose de mouvant, en perpétuelle évolution. »
Découvre la psychologie ayurvédique et l’univers d’Agnès sur son site et son compte Instagram.
Crédit photos : Heather Florance Photography
Découvre comment créer une activité entrepreneuriale alignée à tes valeurs et ton mode de vie grâce à notre masterclass d’1h30 autour de l’entrepreneuriat féminin 2.0. Au programme : psychologie positive, spiritualité et conseils ayurvédiques appliqués au quotidien d’entrepreneure.
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« C’est votre attitude, bien plus que votre aptitude, qui détermine votre altitude »
L’esprit entrepreneurial pourrait se résumer à cette phrase de l’écrivain américain Zig Ziglar. Pour cultiver cette attitude, je t’emmène aujourd’hui dans le cerveau des entrepreneur·es à succès et t’explique en détail l’état d’esprit à l’origine de la réussite entrepreneuriale.
Tu souhaites prendre ta vie en main et développer le mindset des plus grands entrepreneur·es ? Prépare-toi ton thé préféré, et laisse-toi guider par mes conseils d’expertes en psychologie positive et spiritualité.
Je suis Sandrine Carles, web-entrepreneure spécialisée dans les neurosciences et la spiritualité. Ma mission est d’aider les femmes à développer un projet entrepreneurial aligné avec leurs valeurs, à travers une approche mêlant psychologie positive, spiritualité et neurosciences.
Ne faisons pas durer le suspense plus longtemps : le développement personnel est un outil utilisé par presque toutes les personnes qui entreprennent. Il est même souvent à la base de tout projet entrepreneurial. Pourquoi ? Car créer une entreprise implique une remise en question de ses croyances limitantes (nous en avons tous et toutes !) et une prise de conscience de son besoin de se réaliser.
Le développement personnel est en effet une philosophie de vie basée sur le retour à son essence profonde et l’expression de son plein potentiel, en utilisant différents outils et méthodes : méditation, coaching, sophrologie, etc.
Il est à l’origine du changement de mindset qui permet de sortir de sa zone de confort en prenant des risques (ce qu’induit tout nouveau projet), et de se relever en cas d’échec (résilience). Or, ces deux qualités sont essentielles pour se lancer dans l’entrepreneuriat.
Il sert d’ailleurs à tous les niveaux du parcours entrepreneurial car il est l’ingrédient indispensable pour passer des caps, une fois les premiers pas franchis.
Le développement personnel permet de se rendre compte qu’on a le pouvoir de devenir le créateur de sa vie
Un des principes du développement personnel est de reprendre le contrôle de sa vie en assumant la pleine responsabilité de ce que nous arrive. Prendre des décisions et ne plus subir celles des autres. Dire non. Saisir des opportunités. Créer des opportunités. Prendre des risques (calculés). Avoir un but. Persévérer. Regarder ses zones d’ombre et travailler dessus.
Ces exemples peuvent paraître anodins mais ils sont pourtant à la base des plus grands changements de vie.
Avant d’effectuer ce travail de développement personnel, je n’étais pas aussi positive. Ce qui est naturel, car avant d’avoir un mindset entrepreneur, tout·e chef·fe d’entreprise à succès est bloqué·e par des systèmes de pensées et des conditionnements.
Pour bien comprendre l’état d’esprit entrepreneurial, je vais maintenant t’expliquer le mode de pensée inverse : celui du samsara.
Le samsa-quoi ? Dans les philosophies bouddhiste et hindouiste, le samsara est un plan de conscience de l’esprit dans lequel un individu tend à répéter les mêmes schémas de vie entraînant de la souffrance. Ce sont les fameuses boucles karmiques que je t’explique en détail dans notre article sur le dharma. Quand tu es dans le samsara, tu projettes tes peurs, tes croyances et tes manques sur l’extérieur, ce qui, en retour, vient entraîner des actions confirmant ces peurs et croyances.
Les philosophies asiatiques avaient mis le doigt sur des comportements qui sont aujourd’hui encore bien ancrés !
Tu te demandes si ta façon de penser entraîne des situations négatives répétitives dans ta vie ? Voici 4 caractéristiques typiques de pensées découlant du samsara :
La confidence de Sandrine : Avant de devenir entrepreneure, j’étais vraiment susceptible. J’étais accrochée à mon ego. Le développement personnel m’a ouvert l’esprit. Je me suis rendu compte que l’être humain est toujours dans la dramatisation de ce qui lui arrive. Aujourd’hui, je me moque de mes propres réactions !
L’ego, c’est quoi ?
L’ego est la représentation que l’on se fait de nous-même. Selon le point de vue du développement personnel, l’ego est conditionné par les expériences passées, l’éducation et les croyances de la personne. Il peut donc en résulter une vision faussée de son être profond.
C’est en déconstruisant ses croyances et en prenant conscience que son ego la pousse à confirmer son système de pensées qu’une personne peut changer pour vivre en harmonie avec ses valeurs et ses désirs profonds.
L’état d’esprit est un muscle. Pour développer le désir d’entreprendre, la pratique, grâce à des outils de développement personnel, reste la solution la plus efficace. Je te dévoile ici mes meilleures astuces issues de mes connaissances en psychologie et spiritualité pour développer un mindset de battant·e et faire décoller ton projet entrepreneurial !
Le subterfuge des biais cognitifs
Bien souvent, le cerveau fonctionne avec deux biais cognitifs : le biais de négativité et le biais de confirmation. Le premier tend à te faire retenir les informations négatives plutôt que les positives, même si la donnée négative est minoritaire. Le deuxième est un tri d’informations qu’effectue ton cerveau inconsciemment pour confirmer une idée préconçue. Ces deux biais cognitifs sont à l’origine des boucles karmiques du samsara.
En observant tes pensées, tu pourras ainsi déceler celles qui ont un impact négatif sur ta vie, et effectuer un travail sur tes croyances limitantes afin d’implémenter de nouvelles pensées positives engendrant des actions allant vers tes objectifs de vie.
Cet exercice fait d’ailleurs partie d’un module entier développé dans le programme Dharmasana.
L’échec est le premier pas vers la réussite entrepreneuriale, car il te donne un indice de la direction où ne pas aller ! Pour développer un état d’esprit entrepreneurial, le premier pas est donc d’accepter que tu vas te tromper, et donc que, parfois, oui, tu as tort. En acceptant cela, tu te libères aussi de ton ego, qui voit le monde selon le prisme du bien et du mal, car tu t’ouvres à des façons de penser différentes des tiennes.
Ne plus vouloir avoir raison, c’est aussi remettre en cause plus facilement ta façon de penser, et avoir le courage de changer, de faire autrement, t’ouvrir à des prises de conscience sur ta vision du monde et de toi-même.
Et si tu n’es pas encore convaincu·e, voici une citation de Gandhi sur laquelle méditer :
« Chacun a raison de son propre point de vue, mais il n’est pas impossible que tout le monde ait tort. »
Tu n’entreprends pas pour payer tes factures ni faire plaisir à ta maman. La notion d’entrepreneuriat va en effet de pair avec celle de conviction profonde et de mission de vie. L’entrepreneur·e est motivé·e par ses valeurs, ses désirs et l’idée de contribuer à changer le monde à sa manière. L’alignement à ses valeurs et désirs est donc le socle de tout esprit entrepreneurial. Pour trouver ces motivations, je t’invite à lire mon article sur comment trouver sa mission de vie en 5 étapes.
Pour réussir un projet entrepreneurial, il faut savoir où tu veux aller. Une erreur commune commise par de nombreux néo-entrepreneur·es est de ne pas se fixer d’objectif précis. Ces personnes ont une vague idée de ce qu’elles veulent accomplir, mais tout se mélange un peu dans leur tête.
Une des clés de l’esprit entrepreneurial est la clarté
Avoir un objectif clair et précis t’empêche de procrastiner. Clarifier ta mission de vie et tes objectifs permet de t’engager sur le long terme, de garder la motivation, de développer ton plein potentiel et d’affronter les obstacles inhérents à l’ascension entrepreneuriale.
La fixation d’objectif est donc au coeur de l’esprit d’entreprendre, car elle est le moyen d’entrer dans la matière, de passer de la théorie à la pratique, du rêve à la réalité.
Que veux-tu accomplir dans ce monde ? Pourquoi ?
Quel est le mode de vie que tu veux associer à ton activité professionnelle ?
Combien d’argent veux-tu gagner et pourquoi ?
Voici quelques-unes des questions que je t’invite à te poser afin de définir ton objectif entrepreneurial et développer un état d’esprit positif aligné avec toi-même.
Nous arrivons au bout de cet article consacré à l’état d’esprit entrepreneurial. Comme tu l’as compris, le développement personnel est un outil clé pour entreprendre et garder un cap sur ses objectifs de vie à long terme. Si tu souhaites aller plus loin et bénéficier de conseils exclusifs pour t’aligner à tes valeurs et trouver ta mission de vie, tu peux rejoindre notre communauté en t’inscrivant à la DharmaLetter privée.
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