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Maïté Jacquot, chercheuse en biologie marine, a rejoint le programme Dharmasana en 2020, après un burnout.
Pendant un an, cette observatrice des fonds marins a lâché masque et tuba pour partir explorer sa nature intérieure. Son but : trouver un métier dans lequel elle ait plus d’impact sur le monde.
De révélations en nouvelles habitudes de vie, découvre comment Maïté a réinventé son quotidien afin d’être plus en accord avec ses valeurs profondes.
Sur le papier, la studieuse Maïté a coché toutes les cases. Celle qui jadis passait ses étés la tête sous l’eau à observer les poissons est devenue à 30 ans doctorante en biologie marine. « C’était censé être le métier de mes rêves, j’ai travaillé comme une acharnée pour en arriver là », souffle-t-elle.
Dans son laboratoire de Turku, petite ville finlandaise posée sur les bords de la mer Baltique, Maïté voit pourtant son rêve tourner court. « Je me sentais m’éteindre », décrit la jeune trentenaire.
Ce qui cloche ? Le mode de vie associé à la recherche, sédentaire et routinier, ne correspond pas à sa soif d’aventure. Mais il n’y a pas que ça : « Je publiais des articles scientifiques certes, mais qui restaient dans le cercle scientifique. Malgré tout le travail que cela demande, j’avais l’impression de ne pas avoir assez d’impact sur le monde, j’avais besoin de plus contribuer. »
LE CHALLENGE DE MAÏTÉ
Pendant une année, à travers Dharmasana, Maïté a donc entrepris un gros chantier intérieur pour laisser tomber son masque de scientifique et se reconnecter à toutes les autres facettes de son âme. Le challenge ? Fusionner ses différentes passions, pas forcément compatibles au premier coup d’oeil, tout en s’alignant à un mode de vie adapté à ses envies et besoins. En filigrane, affirmation de soi et puissance féminine ont scellé ce retour à son essence profonde. Pour y parvenir, elle est passée par trois phases.
Pour cette cérébrale qui adore apprendre, le premier pas vers un quotidien plus aligné est passé par une reconnexion à son corps. « Pendant des années, j’en ai trop fait, sans écouter mes limites, et j’ai fini en burnout. »
Se forcer à se reposer pendant ses règles, se remettre à la peinture ou pratiquer le yoga ont été quelques-uns des exercices qui l’ont aidée à sortir de la spirale infernale du « plaisir productif ».
« Dans sa lettre de recommandation, mon ancienne maître de stage avait écrit qu’elle n’avait jamais vu quelqu’un travailler aussi dur »
Car avant, pour Maïté, le plaisir passait obligatoirement par le travail et la productivité. Elle se rappelle amèrement : « Dans sa lettre de recommandation, mon ancienne maître de stage avait écrit qu’elle n’avait jamais vu quelqu’un travailler aussi dur dans son labo. Sur le coup, j’étais trop fière… Aujourd’hui, je me rends compte à quel point je m’étais complètement coupée de moi, de mon corps. Ça n’a pas été facile, reconnaît-elle, mais aujourd’hui, l’écoute de mon corps est vraiment quelque chose que j’ai intégré ».
Du yoga, elle digresse vers la danse libre. « N’importe comment et seule chez moi, sourit-elle. Et c’est magique ! »
Cette connexion corporelle l’a amenée à se questionner sur sa connexion intérieure. Alors que sa problématique de base était de s’autoriser à faire tout ce qu’elle voulait, elle réalise, au fil des coachings, que le noeud du problème est plus profond : « En fait, j’ai travaillé sur m’autoriser à être tout ce que je suis et à oser l’exprimer. J’ai dû effectuer un gros changement d’identité, lié à qui je suis vraiment et pas à l’idée que je me faisais de moi-même. »
Exit donc l’image idéalisée de la biologiste marine. Petit à petit, Maïté réalise que le coaching est une activité qui lui correspond, alors que « je ne me voyais pas du tout faire ça au départ », reconnaît-elle.
« J’ai l’impression d’être passée de jeune fille qui se cherche à femme »
Et puis, un autre déclic survient, au détour d’un module du programme Dharmasana, axé sur l’image (négative) de la femme puissante véhiculée dans la société. C’est la claque : « Je me rappelle qu’en coaching, beaucoup de femmes étaient heureuses après avoir vu cette vidéo. Moi, j’étais en colère, car j’aurais tellement aimé savoir ça avant ! Je me suis dit : ‘Mais comment peut-on cacher ça ?’ »
L’émotion passée, cette prise de conscience l’amène à travailler sur l’affirmation de soi : « J’ai dû apprendre que j’avais le droit de dire non. Cela m’a aussi amenée à une reprise de pouvoir ». Au fur et à mesure, à travers le programme DharmaShakti notamment, Maïté renoue avec sa puissance intérieure, et panse ses blessures passées.
« Aujourd’hui, je m’autorise beaucoup plus à être moi-même. Je pensais que j’étais authentique avant, mais je me rends compte que j’avais juste envie d’être gentille pour être acceptée, de me faire petite. Un ami m’a d’ailleurs dit récemment que j’avais changé dans ma façon de m’exprimer ! »
Consécration pour cette aventurière qui s’est pendant longtemps faite discrète : « J’ai publié mes premières vidéos où on me voit sur Instagram. Même si on ne m’entend pas, c’est un grand pas pour moi. » Et de conclure : « J’ai l’impression d’être passé de jeune fille qui se cherche à femme, c’est un gros truc qui s’est passé ! »
Après avoir fait table rase de tout ce qui empoisonnait son quotidien, Maïté a dû ensuite repenser son avenir.
En effet, que fait-on quand on a passé toute sa vie à idéaliser une profession et qu’on réalise, une fois la ligne d’arrivée franchie, que le rêve tant désiré ne nous comble pas ?
« Je me suis concentrée à trouver un métier qui se rapprochait le plus de mes aspirations mais je n’avais pas conscience que je pouvais créer ma propre activité », analyse-t-elle.
Accompagner les femmes à travers la
reconnexion à la nature
Pour trouver un nouveau chemin, Maïté s’est servie de son site Internet comme support visuel. « Mon site était au départ vraiment axé sciences, car je me cantonnais à cette identité de scientifique et je ne m’autorisais pas à sortir de ça, du coup ce n’était pas juste pour moi. »
Passionnée par le développement personnel, « ça m’a sauvée », glisse-t-elle, elle ne sait pas comment allier cet intérêt à son activité de biologiste marine. « Je me suis d’abord dit que j’allais aider les thésards, mais je savais que ce n’était pas vraiment ce que je voulais faire. Ça a mis du temps à cheminer. Comme je suis quelqu’un de visuel, mon site Internet m’a aidé à voir comment fusionner ces différentes activités. »
Redonner du pouvoir aux femmes
En parallèle, elle entame une formation de coaching, la DharmaCoach School. C’est une nouvelle révélation : « C’est super intéressant, et puis le groupe est magique ! On pratique les outils entre nous, des fois on est le coach, d’autres le coaché, ou on observe. »
Petit à petit, l’idée fait son chemin. « Je vois la nature comme un outil pour aider la personne », explique-t-elle. Car aujourd’hui, Maïté souhaite « redonner du pouvoir aux femmes », en proposant des accompagnements et des coachings axés sur la puissance féminine, des pratiques corporelles et… la reconnexion à la nature. Comme un écho à sa propre histoire, et un clin d’oeil au fil conducteur de sa vie.
LE BILAN
En se reconnectant à son corps et en travaillant sur ses croyances, Maïté a ainsi pu se réinventer à travers une activité de coach nature. Une manière pour cette exploratrice de la vie de recoller les différents morceaux de son âme, afin de choisir une voie tracée pour et par elle-même.
Découvre les activités de Maïté sur son site Internet et son compte Instagram.
Si tu es intéressée par ses accompagnements, tu peux la contacter ici.
Mais tu ne sais pas encore ce que tu veux ? Inscris-toi à notre masterclass gratuite sur la mission de vie, et découvre les coulisses de Dharmasana, notre formation sur la mission de vie et l’entrepreneuriat féminin.
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Tu as essayé toutes les méthodes possibles et imaginables pour vaincre la procrastination, mais rien n’y fait ? Tu es chaque jour un peu plus découragé.e et ressens de la culpabilité en voyant les tâches s’accumuler ? Déjà, je tiens à te féliciter ! Si si ! La procrastination indique en effet que ton cerveau est particulièrement efficient.
Tu es sceptique ? Ne pars pas si vite : dans cet article, je vais te révéler ce que tu n’as probablement jamais lu sur la psychologie qui se cache derrière ce comportement.
Tu souhaites vraiment lutter contre la procrastination ? Alors lis la suite !
Avant de parler de solution à la procrastination, il est capital de comprendre ce qui se cache derrière ce comportement. Cela fait d’ailleurs partie, selon moi, des meilleurs moyens pour s’en débarrasser ! La procrastination se définit par la non-action et est souvent associée à la phrase : « remettre au lendemain ce qu’on peut faire le jour même »… Cette description n’est bien sûr pas complètement erronée, mais elle omet d’autres éléments qui sont capitaux pour mieux comprendre ce comportement et y faire face.
Voici les principaux « symptômes » typiques de la procrastination :
Exemple : Tu commences ta journée en regardant une série et repousses les tâches que tu as à faire ? Tu dois faire quelque chose d’urgent, mais tu es pris.e d’une envie irrépressible de pâtisseries ou de chips ? Tu es fatigué.e par ton travail, mais tu sors tous les soirs, ou passes des heures sur les réseaux sociaux jusqu’à t’en faire mal aux yeux ?
Bienvenue dans le monde merveilleux des procrastineurs !
La première chose à savoir est que la procrastination n’est pas que synonyme de paresse ou de non-action. Elle entraîne en effet des actions, mais qui sont des actions de fuite. Pourquoi ? Car la procrastination arrive quand tu es en contact avec des émotions désagréables ou des pensées limitantes, raccrochées à quelque chose que tu dois faire. De ce fait, tu utilises des tampons émotionnels afin d’activer le circuit du plaisir immédiat (voir plus bas) pour soulager (ou étouffer) ces ressentis désagréables.
RECONNAÎTRE LA PROCRASTINATION DÉGUISÉE
Il existe une forme de procrastination « intelligente » ou « déguisée » plus difficile à repérer ! Il s’agit d’actions qui ne procurent pas un plaisir immédiat, mais qui ont bel et bien le même but que les autres tampons émotionnels : fuir l’émotion désagréable que tu ressens.
Par exemple, si tu fais le ménage au lieu de remplir ta déclaration d’impôts, car la remplir te crée du stress… Tu es dans une forme de procrastination !
Tu l’as donc compris : la procrastination est un comportement d’évitement déclenché par ton cerveau, parfois de manière inconsciente, pour fuir une émotion désagréable. Mais pourquoi donc agissons-nous de la sorte ? Explications dans ce paragraphe !
Pour comprendre pourquoi nous procrastinons, il faut se rappeler quel est le but premier du cerveau : nous maintenir en vie. Quand tu dois passer à l’action et sortir de ta zone de confort, ton cerveau peut ressentir un stress, même s’il n’y a pas de menace réelle. Le cerveau ne sait pas que cette peur (de l’inconnu par exemple) est illusoire. Son seul but est donc de te protéger de cette potentielle menace afin que tu survives. En te faisant éviter cette tâche qui te stresse, il veut seulement bien faire. Voilà pourquoi la procrastination est la preuve que tu as un cerveau efficient !
Les émotions déclenchant de la procrastination peuvent être :
Dans un projet entrepreneurial, quand tu procrastines sur une action, cela veut dire que tes émotions ne sont pas alignées avec ce que tu veux vraiment. Vient alors se mettre en place une boucle mentale de pensées négatives (« Je n’y arriverai jamais », « je ne suis pas capable »…), que l’on peut aussi appeler boucle karmique.
Dans le programme Dharmasana, l’un des objectifs est justement d’aider les femmes à sortir de leurs schémas répétitifs, ou karma, afin de s’aligner avec leur dharma, qui est la voie de leur développement et épanouissement personnel. Et donc de mettre fin à la procrastination !
Reste connectée à la communuauté Dharmasana des femmes bienveillantes et alignées ! En t’inscrivant à la Dharma Letter, tu recevras dans ta boîte mail une alerte chaque fois que je sors un article sur l’entrepreneuriat féminin, la mission de vie, l’ayurveda, la psychologie positive et les neurosciences, ainsi que toutes nos actualités.
As-tu des attentes élevées vis-à-vis de toi-même ? As-tu toujours l’impression que ce que tu fais n’est pas assez bien ? Il se pourrait que tu aies développé un comportement perfectionniste. Les personnes perfectionnistes voient souvent le sommet de la montagne à gravir, mais pas où sont leurs pieds. Cette croyance perfectionniste empêche l’action, car l’objectif leur paraît inatteignable, ce qui crée une émotion désagréable à l’origine de la procrastination.
Chez les entrepreneurs, cela peut se matérialiser par la poursuite de formations dans le but de se perfectionner… sans jamais passer à l’action, car la personne a peur de se confronter à l’échec par exemple. Elle « tamponne » donc avec autre chose : des formations liées à son activité certes, mais qui, au final, la détournent de son objectif initial.
Après cette mise en jambes théorique, passons à la pratique. Pour savoir comment vaincre la procrastination, il faut en premier lieu que tu prennes conscience de ce comportement lorsqu’il se manifeste. L’idée est d’entrer en contact avec tes émotions et d’identifier celle que tu fuis, sans forcément chercher à l’analyser.
Procrastiner de manière consciente est un premier pas pour sortir de ce cercle vicieux
Cela m’arrive d’ailleurs régulièrement ! Pour autant, cela ne m’a pas empêchée de développer mes entreprises et de sortir plusieurs programmes de développement personnel. Comment ai-je fait ? Je n’ai pas de recette magique, mais je te propose ici quelques-unes de mes astuces préférées.
Pour savoir comment lutter contre la procrastination, tu dois d’abord comprendre pourquoi le cerveau souhaite ressentir du plaisir immédiat pour contrer des émotions désagréables. Tu l’as peut-être déjà remarqué, notre cerveau adore être absorbé dans une tâche, être dans ce que l’on appelle l’état de flow, où la concentration est maximale. C’est ce qu’il veut atteindre quand il te pousse à rechercher le plaisir immédiat, en mangeant une sucrerie, en regardant Netflix ou en surfant sur les réseaux sociaux (ou tout ça à la fois !).
Pour atteindre cet état de flow immédiat et ne plus ressentir l’émotion désagréable, il sollicite le circuit du neurotransmetteur de la dopamine, qui est celui de la récompense. Problème : le plaisir immédiat ne permet jamais d’atteindre notre but ultime, à savoir l’épanouissement et le bien-être. L’être humain a donc une tendance naturelle à aller chercher le plaisir immédiat, mais c’est en réalité contre-productif, car déconnecté de ce que nous voulons vraiment au fond de nous.
Le savais-tu ? Notre cerveau utilise différents neurotransmetteurs, sortes de messagers chimiques, pour pouvoir faire fonctionner le corps. Il en existe quatre principaux :
Pour contrer cette spirale infernale, tu dois maintenant te créer de nouvelles habitudes pour obtenir le même état de flow, mais dans des actions alignées avec tes réels objectifs de vie. C’est ce que nous allons voir dans le point suivant.
LES TAMPONS ÉMOTIONNELS, C’EST QUOI ?
Les tampons émotionnels sont toutes les actions qui permettent de procurer le plaisir immédiat déclenché par la dopamine, afin de faire « tampon » avec une émotion désagréable. Le circuit dopaminergique est un circuit de récompense permettant à l’être humain de survivre : s’il n’existait pas, nous n’aurions aucune volonté de nous nourrir (et donc de survivre) ni d’avoir des rapports sexuels (et donc de perpétuer l’espèce humaine).
Voici 4 manières efficaces de vaincre la procrastination :
Pour pouvoir bien fonctionner, notre cerveau trie l’information qu’il reçoit. Ce filtrage est effectué par le système réticulé activateur, qui envoie uniquement à notre conscience les informations considérées importantes. Par conséquent, si la peur occupe une grande place dans ta vie, le système réticulé activateur ne retiendra que les informations liées à cette peur et celle-ci se développera de plus en plus !
La bonne nouvelle, c’est que si tu lui dis que ce qui est important pour toi est d’atteindre ton objectif professionnel par exemple, les informations filtrées seront complètement différentes. Ainsi, quand tu ressens une émotion négative, au lieu de te focaliser sur tes peurs et te pousser à procrastiner, le cerveau va naturellement te rappeler ton objectif, qui est donc plus important que la peur, afin que tu te mettes plus facilement en mouvement !
Concrètement, tu peux écrire tes objectifs, créer des mantras autour d’eux et les afficher dans ta chambre ou ton agenda par exemple, afin de pouvoir t’en rappeler régulièrement et changer ton « filtre » interne !
Tu n’es pas encore au clair avec tes objectifs de vie ? Découvre comment trouver ta mission de vie en 5 étapes !
Si tu es de celles et ceux qui voient le sommet de la montagne et que cela te décourage d’avance, cette astuce est pour toi !
Pour arrêter de procrastiner de peur de ne pas réussir à atteindre un objectif qui te paraît inaccessible, le meilleur moyen est de diviser l’ampleur du travail en petites tâches.
D’expérience, je sais qu’il vaut mieux en faire pas assez au début, mais faire tous les jours une action qui va dans le sens de ton objectif, sans stress et sans peur, et augmenter ta charge de travail au fur et à mesure.
Ainsi, tes objectifs du jour seront précis et faciles à réaliser, et tu auras en plus le sentiment du devoir accompli régulièrement, ce qui te poussera à continuer !
COMMENT FAIRE ?
Pour atteindre l’état de flow et travailler sans voir le temps défiler, la technique Pomodoro est l’une des plus efficaces. Le nom de cette astuce se réfère aux minuteurs pomodoro (de l’italien « tomate ») utilisés pour la mettre en place. L’idée est de travailler de manière intense, sans distraction, pendant 25 minutes, puis de prendre une pause de 5 minutes, et de recommencer. Pendant les temps de travail, afin de ne pas être déconcentré, nous t’encourageons à supprimer tes notifications, voire te déconnecter complètement des réseaux sociaux.
Le fait de n’avoir « que » 25 minutes à tenir enlève une pression au cerveau, et cela permet de décupler la productivité !
Pendant les 5 minutes de pause, repose-toi : va prendre l’air sur ton balcon, prends un thé, étire-toi… Mais évite de te « fatiguer » l’esprit en allant sur les réseaux sociaux par exemple ! Tu peux réaliser 4 à 5 cycles et tu seras probablement surpris.e de tout le travail que tu auras abattu en seulement 3 heures !
Enfin, dernier conseil si tu es stressé.e : décharge cette énergie en travaillant sur le cortisol, qui est une des hormones du stress. Quand nous vivons du stress, le niveau de cortisol met plusieurs heures à redescendre, même lorsque la période de tension est passée.
Un bon moyen pour évacuer cet excès de cortisol est de se mettre en mouvement, de reprendre contact avec son corps, en pratiquant une activité physique. Mais attention : tu dois adapter ton activité à ton niveau d’énergie. Si tu es épuisé.e, une simple marche dans la nature ou une séance de yoga douce peut être suffisante !
J’espère que cet article t’a permis de mieux comprendre comment vaincre la procrastination et que cela t’aidera reprendre le contrôle de ta vie !
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La perte de sens au travail est un des maux les plus douloureux de l’âme. Pourquoi la quête de sens est-elle si importante dans la sphère professionnelle ? Et comment redonner du sens dans son travail ? Découvre dans cet article les mécanismes psychologiques qui se cachent derrière cette question centrale de l’épanouissement personnel et comment la philosophie indienne du dharma peut t’aider à y répondre.
Pour comprendre l’importance d’un besoin de sens dans sa vie, nous allons tout d’abord lister les 3 éléments permettant à l’être humain d’être heureux dans sa vie. Des études en psychologie ont en effet démontré qu’il y a 3 moyens d’atteindre le bonheur :
As-tu la boule au ventre à l’idée d’aller travailler ? Te lèves-tu avec le sentiment que ton travail est inutile ou n’a pas de sens ? Ressens-tu de la lassitude ou de la frustration vis-à-vis de tes collègues, clients ou supérieurs ? Si tu as répondu oui à une de ces questions, il est très probable que tu sois victime de « brown-out » (voir encadré plus bas). En clair, l’activité professionnelle que tu exerces n’est pas alignée avec le sens que tu veux donner à ton existence. Résultat : tu ne te sens pas épanoui.e. Tu ressens d’ailleurs probablement un ou plusieurs de ces symptômes :
Burn-out, bore-out, brown-out : définition
Si tu as probablement déjà entendu parler de burn-out et de bore-out, la notion de brown-out est quant à elle moins répandue. Tu te perds dans la jungle de ces anglicismes ? Voici un petit mémo pour bien différencier ces trois termes :
Comme nous l’avons vu plus haut, le besoin de sens est une notion centrale dans le bonheur de tout individu. Il est donc tout à fait normal que la perte de sens au travail entraîne de la détresse. Ce sentiment ne doit d’ailleurs pas être pris à la légère. Il est le carburant de ton âme, ce qui te permet de te lever le matin avec le sentiment d’être là pour une raison précise, d’être utile. Avoir une mission à accomplir est donc capital pour te maintenir en vie, pour que tu puisses effectuer toutes tes tâches en ayant conscience de l’importance de ta venue sur Terre.
Le mot de Sandrine : « Le besoin de donner un sens à sa vie est rattaché au besoin de contribuer. Des études en psychologie ont permis de se rendre compte que les individus qui avaient un but dans la vie, vivaient plus longtemps, étaient en meilleure santé et étaient plus heureuses. »
Donner du sens à sa vie est donc une notion centrale de psychologie positive, car elle est directement reliée au bonheur. Mais savais-tu qu’elle est aussi la clé de voûte du dharma, qui est un concept au coeur de la philosophie ancestrale indienne ? Le dharma, en sanskrit, se traduit comme une « loi naturelle » ou « divine » (mais au sens non religieux) comparable à ce que nous appelons la mission de vie. Si tu n’as jamais entendu parler de ce mot, découvre sur notre site qu’est-ce que le dharma.
Dans le dharma, tout élément est là pour une raison précise, et dans un certain ordre, et, même si on ne comprend pas toujours de suite pourquoi, tout cela crée une harmonie à l’origine du bonheur
Dans la théorie du dharma, l’ordre naturel des choses, au coeur de la mécanique de la vie, est la voie que nous devons suivre pour être épanouis. Dans la nature, on voit par exemple que cette harmonie naturelle s’autogénère entre les animaux et les plantes. Les cycles de la nature sont également le résultat de cette loi naturelle. Dans le dharma, tout élément est là pour une raison précise, et dans un certain ordre, et, même si on ne comprend pas toujours de suite pourquoi, tout cela crée une harmonie à l’origine du bonheur.
Du point de vue de l’individu, chaque être a donc un dharma, relié à son profil ayurvédique, qui lui a attribué des qualités. Ce profil de base et ces dons naturels nous permettent d’accomplir la mission de vie qui nous a été attribuée, à l’origine du sens que l’on donne à sa vie.
Tu te demandes peut-être pourquoi tu n’as pas déjà trouvé ta mission de vie s’il s’agit d’un ordre aussi naturel ? La réponse est simple : pour trouver son dharma, il faut suivre sa réalité intérieure, se mettre en relation avec son être profond et suivre son intuition. Or, nous sommes conditionnés pour ne pas nous écouter, pour ne pas suivre notre petite voix intérieure. Cela peut s’expliquer par :
C’est lorsque l’on fait ce que les autres attendent de nous que la détresse apparaît, car ce qui est « juste » pour l’autre ne l’est pas forcément pour nous. Pour en sortir, tu dois donc t’interroger sur ce que tu aimes faire toi et te « déconditionner ». D’ailleurs, cet exercice est parfois difficile au début, car tu n’as peut-être même pas conscience de l’influence de ton environnement extérieur sur tes décisions.
Ce n’est que lorsque tu commences à te découvrir et utiliser tes forces que tu pourras affirmer ta vraie nature dans ce monde, trouver le moteur de ton âme qui fait que, chaque jour, tu te réveilles avec le sentiment d’être à ta place.
En manque d’inspiration ? Découvre le portrait de Maïté Jacquot, une ancienne élève de Dharmasana, qui s’est créé un métier de coach nature sur-mesure, en accord avec ses valeurs et son style de vie idéal.
As-tu déjà ressenti un manque de sens dans ton travail ou dans ta vie ? N’hésite pas à partager ton expérience en commentaire !
Nous avons créé Dharmasana pour aider les femmes à créer une activité professionnelle alignée avec leurs valeurs profondes, grâce à la philosophie indienne du dharma, l’ayurveda et des outils et connaissances de psychologie positive et neurosciences. Rejoins des centaines de femmes sur la voie du dharma !
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Pauline Hasenclever a rejoint la formation Dharmasana en mars 2020 et a depuis développé une double activité de sophrologue et peintre. Passionnée par le cycle féminin, Pauline est aussi… ancienne fonctionnaire ! Du haut de ses 31 ans, cette artiste dans l’âme a claqué la porte de la fonction publique il y a un an.
Après une rupture amoureuse, épuisée, et au bord du burnout. « J’avais besoin de prendre du temps pour moi. Du coup, je suis partie en Inde faire un panchakarma (détoxification ayurvédique) ». Un voyage spirituel qui l’a transformée… et l’a menée vers l’aventure Dharmasana. Vous trouvez ça cliché ? Attendez de lire la suite.
« Mon gros problème avant Dharmasana, c’était le manque de clarté. Je n’avais pas de vision précise de ce que je voulais faire, ni comment le faire, et je n’arrivais pas à passer à l’action« . Au fil du programme, puis au sein du mastermind DharmaBusiness, Pauline se dévoile et se cogne à des vérités que ses peurs avaient soigneusement empaquetées : « J’avais des idées politiquement correctes, sur ce qui pourrait être audible aux oreilles des autres, mais je me leurrais un peu. (…) J’ai appris à dire m.erde au politiquement correct pour m’autoriser à faire ce que je veux vraiment, et passer à l’action ».
En intégrant le mastermind, la jeune femme, alors en année sabbatique, se recrée une routine : « Les rendez-vous tous les lundis avec les autres filles m’ont obligé à poser des actions et ça me motivait, ce qui n’était pas forcément évident pour moi avant ! »
« J’ai compris que dire qui je suis, ça aidait les autres en plus de m’aider moi. J’ai changé mon regard sur la vie »
Pour Pauline, Dharmasana, c’est aussi des rencontres coup de coeur, et un gros un travail sur les croyances limitantes. Mais surtout, Pauline devient actrice de sa propre vie : « Dharmasana m’a permis d’améliorer mon quotidien, en matérialisant des choses dans ma vie, ce qui m’a aidé à m’aligner avec qui je suis. Aujourd’hui, je ne me mets plus de frein ni de barrière, j’ose dire les choses sans culpabiliser. J’ai compris que dire qui je suis, ça aidait les autres en plus de m’aider moi. J’ai appris qu’on peut avoir plusieurs talents et les faire cohabiter. J’ai changé mon regard sur la vie. »
Très vite, la magie du dharma opère… « À partir du moment où j’ai décidé de ce que je voulais, tout s’est aligné. Beaucoup de choses positives sont venues à moi, comme sur un plateau ! » Premier cadeau inattendu : la vente de ses tableaux. Puis, dès la fin de sa formation en sophrologie, les demandes de collaboration abondent : formation en ligne sur le cycle menstruel, intégration dans un cabinet d’ostéopathe et de psychologue, ateliers de sophrologie… Cerise sur le gâteau : « À chaque fois, ça vibre super bien avec les personnes ! »
Sourire fossettes et regard mutin, Pauline a de quoi déstabiliser les détracteurs de la loi de l’attraction : « Ce n’est pas moi qui suis allée chercher quiconque, tout est arrivé à moi« . Et rassurer celles qui n’osent pas croire que si elles suivent leurs rêves, il y a de fortes chances que ça marche : « J’ai l’impression que grâce à Dharmasana j’ai déroulé le tapis rouge et là je marche dessus ».
L’art de semer des graines
Rembobinons un peu le fil de l’histoire. Avant le happy end, Pauline a posé les graines de son succès, en osant sortir de sa zone de confort. « Quand j’ai proposé de faire une conférence en ligne sur le cycle féminin, pour Dharmasana, ça a été vraiment révélateur pour moi parce que j’ai réalisé que je pouvais le faire. C’était la première fois que je donnais une conférence sur le cycle féminin seule, je me suis rendu compte que j’aimais faire ça. J’ai vécu la sororité de manière décuplée, en dehors de mon cercle. » Création de sites Internet dédiées à ses activités de sophrologue et peintre, comptes Instagram, inscription en tant qu’autoentrepreneur, installation dans son cabinet de sophrologue… Le scénario est en place.
Aujourd’hui, Pauline suit toujours les Dharma coachings. « La communauté Dharmasana permet de partager, c’est toujours utile. Même si on ne va pas à tous les coachings, on est toujours en lien et on sait qu’on peut compter les unes sur les autres. Il y a toujours quelqu’un pour nous répondre. Et puis, les témoignages lors des coachings résonnent souvent en nous. Au-delà de la formation en ligne, les rencontres sont incroyables ! »
« Si je n’arrive pas à investir sur moi-même, dans quoi d’autre pourrais-je investir ? «
À celles qui ne voient que le scénario catastrophe et n’osent pas franchir les portes de la formation, Pauline répond : « Dharmasana est un très beau cadeau à soi-même. C’est vrai que la formation a un coût. Mais je me suis dit : Si je n’arrive pas à investir sur moi-même en premier, dans quoi d’autre pourrais-je investir ? Et qui pourrait investir sur moi si je ne le fais pas en premier ? »
Découvre les activités de sophrologue et de peintre de Pauline.
Photos Charlotte Aleman
Si toi aussi tu veux dérouler le tapis rouge du dharma, rejoins la communauté Dharmasana, trouve ta mission de vie et crée ton projet entrepreneurial, entourée d’autres femmes inspirantes comme Pauline !
Pourquoi sortir de sa zone de confort est-il devenu aussi populaire que les avocado toasts ou la décoration nordique ? Loin du brouhaha des tendances, Sandrine, DharmaCoachs® et entrepreneure multifacettes, t’explique les bienfaits de ce concept d’un point de vue psychologique et spirituel.
Est-il nécessaire de passer par une phase de souffrance pour agrandir sa zone de confort ? Cette question, en tant que coach en développement personnel et spirituel, je la reçois souvent. Derrière cette interrogation se cache cependant une méconnaissance des bienfaits de la prise de risque. Dans cet article, je t’explique pourquoi sortir de sa zone de confort, en amour, au travail, bref, dans toutes les sphères de ta vie, est la clé de ton épanouissement et donc de ton bonheur.
Commençons par définir ce qu’est cette fameuse zone de confort. Il s’agit de toute routine où tu n’as pas de challenges ou de choses nouvelles ou angoissantes à réaliser. La zone de confort va de pair avec le sentiment de sécurité, le contrôle de tes actions, tu es en mode pilote automatique, dans une vie réconfortante dont tu maîtrises tous les paramètres.
Afin que tu saisisses mieux ce concept, voici quelques exemples typiques qui caractérisent la zone de confort :
Si tu te reconnais dans un de ces exemples, il semblerait que ton cerveau se soit habitué à ta zone de confort à tel point que cela commence à t’empêcher de te développer. C’est d’ailleurs une réaction tout à fait normale. Découvre ci-dessous pourquoi il est si difficile de sortir de sa zone de confort.
Pour mieux comprendre, disséquons ce qui se passe dans ton cerveau. Pour réaliser quelque chose de nouveau, ce dernier doit être plus concentré et donc mobiliser davantage de ressources… Et ton cerveau est comme toi : moins il en fait, mieux il se porte ! Pour autant, ce n’est pas forcément la nouvelle action qu’il a le plus de mal à réaliser. Bien souvent, c’est la mise en mouvement, c’est-à-dire le fait de changer de tâche, qui lui demande le plus d’effort.
Admettons que tu veuilles faire du sport, mais que tu n’arrives pas à t’y mettre. La raison pour laquelle tu ne passes pas à l’action est que tu n’as pas l’habitude d’en faire, et que ton cerveau est terrorisé à l’idée de commencer quelque chose de nouveau. Or, tu remarqueras que si tu commences à faire ta séance de sport, il y a très peu de chance que tu t’arrêtes au bout de quelques minutes. Car une fois lancé, ton cerveau aura dépassé ce cap du changement qui lui est si difficile à traverser !
En un mot : ce n’est pas l’action nouvelle qui est le plus inconfortable, c’est le changement d’habitude
L’astuce de Sandrine pour sortir de sa zone de confort : « Tu dois berner ton cerveau ! Si tu es en train de procrastiner devant Netflix depuis trois heures, dis-lui simplement : “Ok, je me mets devant l’ordi et j’envoie juste un mail et ensuite je retourne regarder Netflix”. Une fois ce mail envoyé, tu vas devoir à nouveau changer d’action pour retourner sur ton canapé regarder ta série. Or, comme ton cerveau n’aime pas changer de tâche, il va très probablement rester focalisé sur ce que tu es en train de faire… en l’occurrence travailler ! »
Comme nous l’avons vu, le cocon rassurant de la zone de confort n’est en fait pas si confortable, car il t’empêche de faire de nouvelles choses, d’atteindre tes objectifs et donc de réaliser tes rêves et désirs profonds liés à ton dharma. Il limite donc ton ambition. En restant dans ta zone de confort trop longtemps, tu ne peux pas grandir ni évoluer.
Nous pensons en effet qu’un être humain est programmé pour se développer constamment, apprendre de nouvelles choses et relever des défis pour atteindre son plein potentiel. In fine, agir malgré la peur permet de gagner en confiance, et de mieux faire face aux imprévus.
Voilà pourquoi sortir de sa zone de confort est selon nous indispensable : il s’agit d’une étape pour pouvoir apprendre, sur toi-même et les autres, déconstruire tes croyances limitantes, pour ensuite mieux te reconstruire et t’affirmer dans ce monde.
Maintenant que tu as compris la nécessité de se lancer de nouveaux défis, nous allons te donner nos astuces pour sortir de sa zone de confort professionnelle ou personnelle.
Pour agrandir ta zone de confort, il te faut passer par une autre zone (encore une !) : la zone d’apprentissage. C’est une zone inconnue dans laquelle tes peurs, angoisses et doutes les plus profonds vont remonter. Quand tu étais jeune, tu as d’ailleurs souvent été confronté.e à cette zone : la première fois que tu es allé.e à l’école, quand tu as appris à conduire, etc. Tu as probablement ressenti du stress à ce moment-là. Mais ces sorties de zone de confort étaient perçues, d’un point de vue social, comme “normales”. Tu ne l’as donc probablement pas vécu comme une souffrance.
Faire le choix de quitter son travail ou partir voyager à l’autre bout de la planète relève exactement du même processus, sauf que ce n’est pas quelque chose de si courant ou normal dans notre société. C’est peut-être la raison pour laquelle ces décisions, moins conventionnelles, sont parfois perçues comme des « souffrances inutiles ». Pourtant, nous te l’assurons : tout apprentissage te sera forcément bénéfique car il agrandira ta zone de confort !
Il est donc crucial d’apprendre à repérer le sentiment ou l’émotion que procure cette entrée dans la zone d’apprentissage, ou zone d’inconnu. Une fois ce sentiment identifié, tu te rendras compte qu’il ne s’agit pas d’une peur anticipant un événement dangereux, mais simplement du basculement vers cette zone d’apprentissage.
En avoir conscience est important pour désamorcer le drame que tu peux te faire de cette situation inconnue.
Selon Sandrine, il est aussi important de dissocier les différentes émotions que l’on peut ressentir : “Pendant très longtemps, j’ai confondu le stress et l’excitation. Après mes spectacles de danse, je me rappelle avoir le coeur qui battait, et je ne comprenais pas pourquoi j’étais stressée après ! En fait, il s’agissait simplement de l’excitation ressentie après être montée sur scène. Dans mon corps, stress et excitation se manifestent presque de la même façon. »
Pour sortir de sa zone de confort, le meilleur moyen reste de muscler sa pratique, en s’exerçant le plus souvent possible !
Astuce : Rien ne sert de se lancer des défis trop grands, car tu vas alors rentrer dans une zone de panique. Au lieu de te stimuler afin de te libérer de tes peurs et croyances, l’entrée dans cette zone va au contraire te paralyser. Mieux vaut y aller doucement, en commençant par changer des choses mineures de ton quotidien (tester de nouvelles recettes, aller se promener dans des lieux inconnus, etc.).
Pour résumer :
N’hésite pas à commenter pour partager ta plus grosse sortie de zone de confort !
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