Pauline Hasenclever a rejoint la formation Dharmasana en mars 2020 et a depuis développé une double activité de sophrologue et peintre. Passionnée par le cycle féminin, Pauline est aussi… ancienne fonctionnaire ! Du haut de ses 31 ans, cette artiste dans l’âme a claqué la porte de la fonction publique il y a un an.

Après une rupture amoureuse, épuisée, et au bord du burnout. “J’avais besoin de prendre du temps pour moi. Du coup, je suis partie en Inde faire un panchakarma (détoxification ayurvédique)”. Un voyage spirituel qui l’a transformée… et l’a menée vers l’aventure Dharmasana. Vous trouvez ça cliché ? Attendez de lire la suite.

“Dire m.erde au politiquement correct”

“Mon gros problème avant Dharmasana, c’était le manque de clarté. Je n’avais pas de vision précise de ce que je voulais faire, ni comment le faire, et je n’arrivais pas à passer à l’action“. Au fil du programme, puis au sein du mastermind DharmaBusiness, Pauline se dévoile et se cogne à des vérités que ses peurs avaient soigneusement empaquetées : “J’avais des idées politiquement correctes, sur ce qui pourrait être audible aux oreilles des autres, mais je me leurrais un peu. (…) J’ai appris à dire m.erde au politiquement correct pour m’autoriser à faire ce que je veux vraiment, et passer à l’action”.

En intégrant le mastermind, la jeune femme, alors en année sabbatique, se recrée une routine : “Les rendez-vous tous les lundis avec les autres filles m’ont obligé à poser des actions et ça me motivait, ce qui n’était pas forcément évident pour moi avant !”

“J’ai compris que dire qui je suis, ça aidait les autres en plus de m’aider moi. J’ai changé mon regard sur la vie”

Pour Pauline, Dharmasana, c’est aussi des rencontres coup de coeur, et un gros un travail sur les croyances limitantes. Mais surtout, Pauline devient actrice de sa propre vie : “Dharmasana m’a permis d’améliorer mon quotidien, en matérialisant des choses dans ma vie, ce qui m’a aidé à m’aligner avec qui je suis. Aujourd’hui, je ne me mets plus de frein ni de barrière, j’ose dire les choses sans culpabiliser. J’ai compris que dire qui je suis, ça aidait les autres en plus de m’aider moi. J’ai appris qu’on peut avoir plusieurs talents et les faire cohabiter. J’ai changé mon regard sur la vie.”

“Tout est arrivé à moi comme sur un plateau”

Pauline est peintre intuitive

Très vite, la magie du dharma opère… “À partir du moment où j’ai décidé de ce que je voulais, tout s’est aligné. Beaucoup de choses positives sont venues à moi, comme sur un plateau !” Premier cadeau inattendu : la vente de ses tableaux. Puis, dès la fin de sa formation en sophrologie, les demandes de collaboration abondent : formation en ligne sur le cycle menstruel, intégration dans un cabinet d’ostéopathe et de psychologue, ateliers de sophrologie… Cerise sur le gâteau : “À chaque fois, ça vibre super bien avec les personnes !”

Sourire fossettes et regard mutin, Pauline a de quoi déstabiliser les détracteurs de la loi de l’attraction : “Ce n’est pas moi qui suis allée chercher quiconque, tout est arrivé à moi“. Et rassurer celles qui n’osent pas croire que si elles suivent leurs rêves, il y a de fortes chances que ça marche : “J’ai l’impression que grâce à Dharmasana j’ai déroulé le tapis rouge et là je marche dessus”.

 L’art de semer des graines

Rembobinons un peu le fil de l’histoire. Avant le happy end, Pauline a posé les graines de son succès, en osant sortir de sa zone de confort. “Quand j’ai proposé de faire une conférence en ligne sur le cycle féminin, pour Dharmasana, ça a été vraiment révélateur pour moi parce que j’ai réalisé que je pouvais le faire. C’était la première fois que je donnais une conférence sur le cycle féminin seule, je me suis rendu compte que j’aimais faire ça. J’ai vécu la sororité de manière décuplée, en dehors de mon cercle.” Création de sites Internet dédiées à ses activités de sophrologue et peintre, comptes Instagram, inscription en tant qu’autoentrepreneur, installation dans son cabinet de sophrologue… Le scénario est en place.

“Dharmasana est un très beau cadeau à soi-même”

Aujourd’hui, Pauline suit toujours les Dharma coachings. “La communauté Dharmasana permet de partager, c’est toujours utile. Même si on ne va pas à tous les coachings, on est toujours en lien et on sait qu’on peut compter les unes sur les autres. Il y a toujours quelqu’un pour nous répondre. Et puis, les témoignages lors des coachings résonnent souvent en nous. Au-delà de la formation en ligne, les rencontres sont incroyables !”

“Si je n’arrive pas à investir sur moi-même, dans quoi d’autre pourrais-je investir ? “

À celles qui ne voient que le scénario catastrophe et n’osent pas franchir les portes de la formation, Pauline répond : “Dharmasana est un très beau cadeau à soi-même. C’est vrai que la formation a un coût. Mais je me suis dit : Si je n’arrive pas à investir sur moi-même en premier, dans quoi d’autre pourrais-je investir ? Et qui pourrait investir sur moi si je ne le fais pas en premier ?”

Découvre les activités de sophrologue et de peintre de Pauline.
Photos Charlotte Aleman

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